Bulletin n°2 – 2013

Morangis, le 15 Février 2013

Cher confrère,

Avec 5 partants, ils démarrèrent à 8 et sont arrivés à 12 au repas du vendredi 08.

Pas terrible mais, comme maintenant on ne parle plus qu’en pourcentages multiples de progression ou décroissance, c’est une forte augmentation, inespérée en tout cas.

Que dire ? Oserai je avouer aux épouses des présents que la conversation a été très joyeuse comme d’habitude mais surtout inhabituellement et longuement très débridée. J’ai entendu des confrères que je croyais sérieux tenir des propos osés.

Première fois que je vois cela en 25 ans de présence assidue.

Comme toujours, j’ai des noms mais je ne peux bien sûr les dévoiler qu’en tête à tête…… avec les épouses concernées.

Quant aux absents envieux, eh bien, ils n’avaient qu’à venir.

Tout le reste est secondaire sauf un problème d’étiquette, pour lequel je te prie d’être vigilant.

Notre nouvelle impétrante, j’ai cité Catherine, souhaiterait, semble-t-il, être traitée en confrère et non en consoeur.

Comme nous n’avons rien à lui refuser (attention, par ses relations à la FNTP, elle pourrait peut être faire exclure ton entreprise des prochains appels d’offres à cause de ton attitude antiféministe), j’imagine que tout le monde sera d’accord.

Faudra t il un référendum ? Un simple débat apéritif ? Et, si Catherine ne voulait parler qu’en présence de son avocat ? qu’en dirait le conseil constitutionnel ? Gare aux amendements (comme disent les paysans, ca ne sent pas toujours très bon).

Eh ben, moi je dis que le mariage pour tous est un problème simple à côté de celui là !

Pour le reste, rien de significatif.

La prochaine réunion aura lieu le vendredi 08 mars à midi à notre Ibis préféré. Ton inscription est très attendue.

Je ne sais plus quelle attitude adopter pour te faire venir. Faudra-t-il faire du discount ?

Parce que je pars dans quelques jours, j’ai accéléré et abrégé ce bulletin.

Tu ne m’en voudras pas, n’est ce pas ?

Quand même pour meubler un peu, je te joins notre bilan 2012. Bien, n’est ce pas ? c’est ce qu’on appelle de la gestion de père de famille (qui ne fume pas, ne boit pas – ou peu-, ne joue pas et bien sûr, ne va pas voir les dames.

Amicalement

Jean Paul